Le cinéma soviétique, dont le plus illustre représentant les premières années est Sergueï Mikhaïlovich Eisenstein a donné lieu à diverses interprétations qui se sont focalisées soit sur « le cinéma comme œuvre d'art », « le cinéma comme propagande » ou « le cinéma comme objet de spectacle ». Ivan le terrible, sommet du 7è art, en est la plus célèbre illustration.
Après la dislocation de l'Union soviétique, plusieurs cinéastes russes sont reconnus sur la scène internationale, comme Nikita Mikhalkov avec Urga qu'il tourne en 1991.
Même si le cinéma russe peine à s'exporter, il voit apparaître dans les années 2000 de beaux films, notamment avec Andreï Zviaguintsev (Le retour, Elena). Les moyens deviennent plus importants, et des films d'action sont produits.